Des défenseurs des droits de l’Homme analysent le language de haine dans les médias de Crimée
Lire aussi : L’annexion de la Crimée : chronique des événements
Cette information a été communiquée par nos confrères de Crimée. Realités :
"Selon les songades, le language de haine a surtout été utilisé contre les groupes suivants : les Ukrainiens, les Tatars de Crimée, les partisans de l’Euromaїdan, les membres du Madjlis des Tatars de Crimée, les musulmans, les fidéles de l’église ukrainienne du Patriarchat de Kyiv, les jourmalistes et les défenseurs des droits de l’Homme", a expliqué Tetyana Petchontcyk, directrice du Centre ukrainien des droits de l’Homme.
Selon Iryna Sedova, experte rattachée au Groupe de défenseurs des droits de l’Homme de Crimée, a indiqué que 718 cas de discours haineux avaient été enregistrés durant la période de surveillance, principalement dans les médias Kryminform (23%), Forpost (35%), NTS Sébastopol (13%) et RIA Crimée (15%).
EH