Guerre en Ukraine : Trois civils tués et dix-huit autres blessés dans des bombardements russes sur la région de Kherson
Au cours des dernières vingt-quatre heures, les forces russes ont visé des zones résidentielles dans 34 localités de la région de Kherson, y compris la capitale régionale éponyme. Trois civils ont été tués et dix-huit autres blessés, dont trois grièvement.
Le 6 octobre, l’armée russe a massivement bombardé Stepanivka. Une femme de 69 ans a perdu la vie dans sa maison. Une autre, âgée de 51 ans, a été grièvement blessée, souffrant de contusions et de traumatismes crâniens. Plusieurs membres d’une famille ont également été touchés par un obus tombé sur leur domicile : deux adolescentes de 16 et 12 ans, une femme de 37 ans et un homme de 47 ans ont été hospitalisés pour des blessures d’intensité moyenne.
À Tchornobaïvka, trois civils ont été blessés, dont une jeune fille de 18 ans grièvement touchée alors qu’elle se trouvait sur un stade. Une femme de 57 ans a été hospitalisée pour traumatismes liés à l’explosion et blessures par éclats. Par ailleurs, une femme de 76 ans a été gravement blessée dans sa maison, souffrant de traumatismes crâniens, contusions et éclats au thorax, à la tête et aux bras.
À Kherson, dans le district de Dnipro, un homme de 64 ans et un autre de 57 ans ont été hospitalisés pour traumatismes explosifs et fractures ouvertes après des bombardements matinaux. Un troisième homme de 66 ans a également été blessé et se trouve actuellement hospitalisé pour traumatismes crâniens et blessures par éclats.
Dans la nuit du 7 octobre, une nouvelle frappe russe a touché la ville de Kherson : un homme a été tué et trois femmes — âgées de 51, 18 et 69 ans — ont été hospitalisées pour contusions, traumatismes crâniens et blessures dues à l’explosion. Les secouristes ont extrait le corps d’un homme décédé des décombres d’un immeuble ; son identité est en cours d’établissement.
Dans la matinée du même jour, une autre frappe a coûté la vie à un homme de 65 ans dans le district de Dnipro, à Kherson.
Photo: administration militaire de la région de Kherson