Le SBU assure que les règles d’accréditation pour les journalistes n’ont pas changé.

Les décisions du Centre anti-terrorisme qui travaille au sein du Service de sécurité de l’Ukraine sur les restrictions de déplacement dans la zone concernée par l’opération anti-terroriste n’influenceront pas le travail des journalistes ayant reçu l’accréditation.  

Cette information est communiquée par le service de presse du Service de sécurité de l’Ukraine.

«Les représentants des médias ayant obtenu l’autorisation de travailler dans la zone concernée par l'opération anti-terroriste peuvent continuer de faire leur travail dans les zones qui ne se trouvent pas directement sur la ligne de front.

La nécessité d’obtenir une autorisation supplémentaire pour faire des photos et des vidéos des objets militaires et des militaires existe cependant toujours. Les journalistes peuvent partir sur l’avant-front uniquement après avoir convenu préalablement du trajet qu’ils comptent suivre avec le centre de presse de l’opération anti-terroriste et uniquement en étant accompagné », précise le SBU. En raison de la détérioration de la situation dans la zone de l’opération anti-terroriste, le Service de sécurité de l’Ukraine a considérablement renforcé certaines mesures de sécurité. Les règles pour les représentants des médias ne changent en revanche pas : ils doivent toujours être propriétaires d'une carte de presse. Le Centre anti-terroriste du Service de sécurité de l'Ukraine a introduit des restrictions temporaires en raison de la détérioration de la situation dans la zone ATO. Parmi ces restrictions : l'interdiction de photographier, ainsi que les enregistrements de films et de vidéos.

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